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New Talent : Virginie Cavadini (RMB)

Vendredi 22 Avril 2022

New Talent : Virginie Cavadini (RMB)

Fraichement diplômée de l’IHECS, Virginie Cavadini travaille depuis septembre dernier chez RMB en tant que Campaign Expert. Issue d’une famille de communicants, ce n’est cependant pas son premier job dans le milieu.

Quel a été votre parcours, en tant qu’étudiante d’abord, puis au niveau professionnel ?

J’ai fait toutes mes études à l’IHECS, où j’ai obtenu d’abord un bachelier en communication appliquée, puis un master en publicité et communication commerciale. En parallèle, pendant les étés de mes années de bachelier, j’ai travaillé comme étudiante chez Dentsu. Je me chargeais des tâches mineures, même si j’ai pu me faire la main sur du booking de campagnes et un audit dans un second temps. Quant à mon stage de fin de master, je l’ai effectué chez LN24. Mon travail y était beaucoup plus varié : communiqués de presse, retouches des visuels de présentation, gestion des réseaux sociaux… Comme ils étaient contents de mon travail, j’ai pu continuer en tant qu’étudiante, jusqu’au moment où j’ai rejoint la RMB en septembre. 

Est-ce cette expérience qui a orienté votre choix de la RMB ? Ou bien était-ce une opportunité fortuite ?

Au départ, j’avais pensé faire un an d’études supplémentaire pour obtenir un master en gestion à l’ICHEC et compléter ma formation avec l’aspect ‘chiffre’ qui me manquait. Sauf qu’entre temps, l’offre de la RMB est arrivée sans crier gare. La position de Campaign Expert en régie était tout ce que j’espérais : un mix de créativité et de stratégie, me permettant d’acquérir l’expérience que je cherchais à obtenir par le master. J’ai donc accepté le job sans hésiter. 

Quels sont les principaux défis que vous rencontrez au quotidien ?

Le métier de Campaign Expert est difficile à décrire. Quand nous arrivons le matin, nous ne savons pas de quoi notre journée sera faite, mis à part certains moments comme la clôture des antennes radio et TV. Le tempo quotidien est dicté par les mails que nous recevons du portefeuille clients que nous gérons. Le plus dur est d’interpréter les demandes pour y répondre au mieux. Par exemple, lorsque nous recevons un briefing, il faut faire preuve de créativité dans nos propositions pour préparer un bon de commande. C’est cette inconnue permanente qui est si plaisante dans ce travail. 

Comment réussir à se faire un prénom quand on est la fille de Philippe Cavadini, un nom connu dans le milieu ?

Même si nous travaillons dans le même secteur, nos boulots respectifs sont très différents. Les attentes initiales peuvent être élevées, mais la majorité des gens sont très accueillants et je ne ressens donc pas spécialement de pression. De plus, un nom de famille ne fait pas tout. Il peut aider en termes de réseau ou pour entrer quelque part, mais c’est par la compétence et le travail qu’on peut y rester, c’est pourquoi j’essaie de faire de mon mieux tous les jours.

Je pense surtout que travailler dans le même milieu nous a rapprochés d’une certaine manière. Quand je rentre à la maison et que je discute de ma journée, je sais qu’il comprend parfaitement de quoi je parle et que ça l’intéresse. 

Où vous voyez-vous dans quelques années ?

Dans la communication, que ce soit dans les médias ou la publicité car c’est un milieu que j’adore. Chez RMB j’espère. Quant à la position, c’est difficile à dire. Même mon boulot de Campaign Expert évolue très rapidement et pourrait ne plus s’appeler comme ça dans quelques années. 

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