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Charlotte Vanbever (Sudpresse) : "Max est un peu le magazine lifestyle qui manquait en Wallonie"

Mercredi 17 Mars 2021

Charlotte Vanbever (Sudpresse) :

Depuis le 13 mars, les journaux du groupe Sudpresse accueillent un nouveau supplément hebdo de 48 pages : Max, sous-titré "complice au quotidien" (des lecteurs). Un magazine upscale qui veut rendre ses lecteurs fiers d'être wallons.

Tout un programme, que nous expliquent la Rédactrice en chef de Max, Charlotte Vanbever, et Vincent Brossel, Directeur Marketing & Commercial de Sudpresse. 
 
Le lancement de Max s'inscrit dans un redéploiement plus large de l'offre du week-end des journaux régionaux du groupe Rossel. Pouvez-vous nous détailler le projet ?
Vincent Brossel : En effet. Nous avons actualisé l'offre week-end dans nos journaux La Meuse, La Nouvelle Gazette, Nord Eclair, La Province et La Capitale avec le lancement de notre nouveau magazine Max, des pages week-end génériques et le supplément TV News. Trois éléments "détente". On remarque en effet que nos lecteurs adoptent un autre rythme le week-end : ils ont davantage de temps et des centres d'intérêt différents qu'en semaine - loisirs, découvertes, relaxation, etc. 
Nous leur proposons donc un contenu adapté, avec des contenus de type magazine et des arcs narratifs plus légers, plus pratiques... Il faut aussi savoir que nous réalisons nos meilleures ventes le lundi pour l'actu sportive, mais surtout le samedi. Raison pour laquelle nous renforçons cette offre week-end.

Plus précisément, le supplément TV News que l'on retrouvait déjà dans Le Soir, reprend classiquement toutes les grilles et une sélection des meilleurs programmes de la semaine ; les nouvelles pages week-end dans les journaux sont quant à elles axées consommation, loisirs et cultures, avec également un volet immobilier et automobile ; et enfin, Max, un magazine "quality" de 48 pages, dédié à la Wallonie. 

Un projet ambitieux !

Il l'est. Les journaux de Sudpresse ont un ADN wallon revendiqué. L'idée est donc de montrer la beauté de la Wallonie, son côté inspirant, sous différents aspects et différents angles. Max est un produit qui s'inspire du Nina de HLN mais qui n'avait pas d'équivalent en Wallonie. Un magazine "upscale" tant sur le fond que sur la forme. C'est donc effectivement un projet ambitieux qui se déploie chaque semaine en print dans nos journaux mais aussi chaque jour en digital sur Max.sudinfo.be

Pourquoi Max ?

Charlotte Vanbever : Le nom du magazine traduit une volonté de personnification du magazine. C'est un nom dans lequel tout le monde peut se reconnaître, un diminutif non genré, à la fois masculin et féminin. 

Max, c'est le compagnon idéal du lecteur, le meilleur ami du week-end et du reste de la semaine. C'est aussi une sorte d'influenceur : il connaît tous les bons plans, toutes les bonnes adresses en Wallonie. 

Comment s'articule le déroulé du magazine ?

Il s'articule autour de six rubriques récurrentes, dont les intitulés font écho à cette volonté de personnalisation que j'évoquais : Max rencontre, Max à la maison, Max et moi, On bouge avec Max, Les tentations de Max et Max à table. 

Au fil des pages, on découvre comment Max inspire le lecteur : Max a toujours une longueur d'avance, il a toujours une bonne idée, de bons conseils, de très bonnes adresses que l'on ne connaît pas forcément, et ils les partage. Max part aussi à la rencontre de personnes inspirantes qui nous mettent des paillettes dans les yeux : des Wallons que l'on connaît mais aussi d'autres personnalités qui le sont moins et qui méritent d'être mises en avant. Max cherche aussi des angles originaux : par exemple, dans le premier numéro, quand Max rencontre Julie Taton, il évoque son côté "femme entrepreneuse" dont on parle peu mais aussi son tropisme pour le bio, le bien-être... 

Comment Max évolue-t-il sur le Web ?

Sur le Web, Max se raconte au jour le jour. Nous y déclinons évidemment des articles du print tout au long de la semaine, mais le but est que le site vive de lui-même. Nous avons d'ailleurs deux éditrices dédiées pour l'alimenter au quotidien. 

Dans tous les cas, Max est un peu le magazine lifestyle qui manquait en Wallonie.

Le lancement de Max sera-t-il soutenu par une campagne ?

Vincent Brossel : Bien sûr. Notre agence Shake a notamment développé trois visuels qui jouent la carte de la personnalisation. La campagne sera déclinée en radio, TV, etc. 

Le premier numéro de Max est à découvrir ici.

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